Les aventures d'Hermine et Lemon

Trouvés errants et affamés le 3 juillet 2017 dans le  secteur de Quingey, Hermine et Lemon, 2 chiens de chasse, ont été pris en charge par une bénévole qui, vu leur état, a contacté immédiatement la SPA. Le propriétaire a finalement été récupérer le setter au bout d'une semaine et abandonné Hermine, pas assez apte à la chasse et trop fugueuse ! La jeune croisée pointer a vite trouvé un adoptant, nul doute qu'elle sera beaucoup mieux dans sa nouvelle famille.

Arnold le vagabond

Trouvé errant dans les bois de Lombard en avril 2016, Arnold, jeune chien dogue argentin-golden retriever a eu la chance de croiser la route de gens fort sympathiques, qui ont fait appel au maire de la commune, sensible à la cause animale, qui a fait appel à Humanimo. Après recherche infructueuse d'éventuels propriétaires, Arnold a été pris en charge par la SPA de Dole et a vite trouvé un adoptant. Autre bonne nouvelle, Lombard a signé une convention avec la SPA, ce qui permettra une prise en charge rapide des animaux trouvés errants sur le territoire communal.

Des nouvelles d'Arnold, rebaptisé Django sur le site de la SPA

Le destin d'Inès

Mise à jour avril 2016

Bonne nouvelle ! Inès est sauvée et a rejoint un refuge de la FBB !

 

Ils sont 3 copains du  Haut-Doubs : Boris l’âne blanc, Étincelle, l’âne gris et Inès, la petite vache rousse. 3 amis qui ont grandi ensemble et s’entendent à merveille, mais voilà, bientôt, l’un des 3 va mourir. 

 

A moins que,  le même mouvement de solidarité qui a joué pour la petite vache échappée de l’abattoir ne se mette en route encore une fois. A moins que, tous ensemble, nous ne nous mobilisions pour sauver Inès.

 

Inès qui ne devait pas finir à l’abattoir, puisqu’elle avait une jolie destinée de vache de compagnie, elle qui fut amenée gamine dans le champ d’Etincelle, le petit âne gris qui s’ennuyait tout seul.  Les deux jeunes compères sympathisèrent tout de suite et entamèrent une belle jeunesse,  au bon air des montagnes du Haut-Doubs. Puis, arriva en pension Boris, l’âne blanc  sauvé par Aline et le duo devint trio. Trois compagnons  qui grandissaient et s’amusaient ensemble, heureux ! 

 

Hélas, les belles histoires sont souvent contrariées chez les animaux. Ses propriétaires ne peuvent aujourd’hui plus subvenir aux besoins d’Inès, qui est devenue une grande fille de 900 kg et mange trois tonnes de foin pendant les longs mois d’hiver. Ils ont donc décidé de la vendre, mais qui achète une limousine-charolaise aujourd’hui, si ce n’est l’abattoir ?

 

Aline en a décidé autrement et refuse qu’Inès parte à l’abattoir. Elle a contacté Stéphane Lamart, qui est prêt à l’accueillir dans sa ferme pédagogique, et a commencé à collecter des fonds pour racheter Inès à ses propriétaires et financer son transport vers une nouvelle vie. 

 

Il manque aujourd’hui seulement 1000 euros pour sauver Inès, 1000 euros qu’Aline n’arrive pas à trouver. 

 

Le destin d’Inès, c’est nous qui l’écrivons ! 

 

 

Une petite vache rebelle

Aujourd'hui nommée Vegan (ou Marguerite sur certains sites), car une vache célèbre a droit à un nom, cette génisse était promise, comme 1.5 millions de ses consœurs, à finir dans des gosiers omnivores. 

 

Mais, arrivée, dans le couloir de la mort, elle décida qu'elle était bien trop jeune pour mourir et ficha une pagaille de tous les diables avant de s'enfuir dans les rues du village.

Une journaliste passait par là et voilà... La saga de Vegan commençait.

 

Virginie, présidente d'Humanimo, lut comme des milliers d'autres personnes le récit de la cavale de la jeune Vegan et décida que celle-ci méritait mieux que de repartir à l'abattoir une fois les effets de l'aventure estompés.

Elle prit donc son téléphone et passa des heures à retrouver la trace de l'animal et à appeler de célèbres fondations et associations, susceptibles de l'aider à sauver Vegan.

 

L'affaire était conclue, lorsqu'on apprit que le propriétaire, maquignon de son état, avait  mis un marché en main de l'association Stéphane Lamart. Un drôle de marché, puisqu'il demandait pour libérer Vegan 10 000 euros.

Virginie reprit son bâton de pèlerin et contacta Stéphane Lamart, qui confirma ce prix, hors d'atteinte pour une association et assura être en négociation serrée avec le maquignon pour arriver à une somme raisonnable. 


Et le 19 juin, victoire ! La somme demandée était enfin réunie. 5 500 euros quand même, ce n'est pas une paille ! Le prix de la célébrité... Mais Vegan pourra enfin partir brouter les verts pâturages du Loir et Cher, dans une ferme pédagogique et couler des jours heureux.

 

Article du progrès sur l'action d'Humanimo

Pétition en ligne et nouvelles de Vegan (ou Marguerite)